Aumentar o preço dos brioches aos mais ricos e distribuir gratuitamente hot-dogs aos pobres. "En dépit de leurs lourdes interventions keynésiennes, ils n’arrivent toujours pas à enrayer la crise : la croissance est nulle, il n’y a plus d’argent ni dans les caisses de l’État, ni dans les poches des Français, et le pays est sinon déjà en soins palliatifs, du moins sous perfusion intensive alimentée par la dette qui permet de continuer à vivre au-dessus de ses moyens mais à crédit. Comme ils ne veulent rien changer au « modèle social » (interventions, subventions, prestations et allocations à tous les étages), il leur faut inventer un truc pour justifier les dépenses et poursuivre la redistribution. Que ce soit au gouvernement ou chez des économistes comme Piketty, ce truc c’est non pas de créer davantage de richesse (il faudrait faire l’inverse de ce qu’ils font), mais de prendre aux plus favorisés. Valls, qui est plus subtil que François Hollande, ne dit bien sûr pas ouvertement qu’il « n’aime pas les riches » mais plus habilement qu’il va « faire un geste envers les plus modestes » ou « protéger les Français les moins favorisés », et il annonce qu’il va financer les dépenses grâce à… l’argent récupéré sur « la fraude fiscale ». Ouf, grand soulagement dans l’opinion : les riches vont payer les ardoises et tout pourra continuer comme avant et surtout on pourra ne rien changer…" (
Nicolas Nilsen, Contrepoints
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