"L’économie américaine a digéré la crise financière de 2008, l’Europe pas encore. La croissance américaine a renoué avec son cours habituel de l’ordre de 3% par an (dont 1% dû à la croissance de sa population), tandis que l’Eurozone plonge en-dessous de zéro. Les États-Unis ont retrouvé un quasi plein emploi, tandis que le chômage en Europe du Sud reste dramatique. Même l’Allemagne s’essouffle car sa prospérité dépend aussi de ses exportations vers la France, l’Italie et la Russie, tous pays en récession. L’Espagne a rebondi mais en partant d’un seuil très bas et au prix d’une baisse significative des salaires moyens..." (Guy Sorman). Mas também defende a teoria da "destruição criadora" na ciência económica inventada por Joseph Schumpeter em Harvard em 1940. Nos Estados Unidos, o antigo cede rapidamente o lugar ao novo, o que torna a economia dinâmica. "En Europe à l’inverse, les gouvernements, les banquiers, les syndicats, les médias portent spontanément secours à la tradition et se méfient de l’innovation. En somme, les Européens n’aiment pas la flexibilité", sublinhou. Refere ainda o "espírito animal" dos americanos. Gostei deste qualificativo da autoria de Keynes.
adios amigos
Há 9 anos
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